A la recherche des blaireaux.

Publié le par CM vilegusien


En regardant par terre, on voit une araignée loup : elle chasse à l’affût. C’est à dire qu’elle se cache et saute sur les proies qui passent à côté d’elle.

 Il y a un trou dans le sol. C’est l’entrée d’un terrier de campagnol.


Un renard est passé par là. Il a creusé pour attraper le campagnol. Il l’a mangé et à signé son crime en posant un crotte. Il ne faut pas toucher les crottes des animaux car le renard pourrait être malade et nous rendre malade nous aussi. Juste à côté on voit le nid du campagnol qu’il s’était fait avec de l’herbe sèche. Il y a beaucoup de trous de campagnols… et beaucoup de traces de renards ! C’est un HLM à campagnols ou bien un garde-manger pour renard. Ca dépend si on est campagnol ou renard…

En regardant bien autour de nous, nous apercevons une colline. Elle est recouverte d’arbres. Devant elle, en bas, il y a un grand champ. On voit la couleur de la pierre de la colline. C’est tout blanc. Il y a ici tout ce qu’il faut pour les blaireaux ! Les arbres pour cacher les blaireaux, la pierre blanche (de l’oolithe blanche) facile à creuser pour faire les terriers, un grand champ pour y trouver de la nourriture. C’est là que nous allons pour trouver un terrier de blaireau.
Là, au sol, il y a un petit trou avec une grosse crotte dedans.


C’est un pot de blaireau. Le blaireau fait des trous pour y mettre ses crottes.

 Le blaireau mange des vers de terre. Il en raffole. C’est son plat préféré (chacun ses goûts). Il aime tellement ça qu’il peut en trouver 10 par minutes soit 1 toutes les 6 secondes. Essayez donc de faire mieux !!! Nous nous enfonçons dans le bois et en haut de la colline, nous trouvons plein d’entrée de terriers. Mais elles sont vieilles. Le village des blaireaux n’est plus habité !




Publié dans Le journal des CM

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